La matérialité des mouvements

Le poète propose ici une expérience de la sensation dite et soufflée à même les mots. Il s'interroge : qu'est-ce qu'ailleurs ? Le noeud cérébral ? Il suggère qu'il faut s'entendre seul pulmoner le fragile luisant sur sa peau pour que les mots coulent à même l'ordre de la pensée. « Mon corps allongé comme une herbe Pense que le jour dure La loi de ces effets est infinie »


Spécifications techniques

Date de sortie15 septembre 2004
LangueFrançais
ÉditeurECRITS DES FORGES
CollectionPoesie
Catégories
Nombre de pages50 pages
CompositionContient un seul article
SupportLivre imprimé à couverture souple
FormatLivre compact
Mesure21 cm (Hauteur)
Accessibilité  Aucune information disponible concernant l'accessibilité pour le format Papier